Charm El Cheikh est le lieu culminant dressait par une centaine de leaders mondiaux. La lancinante question du climat, centre d’intérêt des puissances européennes et des pays sous développés, doit demeurer celle exhaustive. Cette prise en charge longtemps opérée depuis 30 ans malheureusement asphyxie le continent africain qui paye une lourde tribu aux effets dévastateurs du réchauffement climatiques.
A l’ouverture de la conférence le dimanche 06 novembre 2022, le président hôte de la République de l’Egypte Abdel Fatah Al Sissi, à la face des participants, a émis des interrogations à l’endroit des chefs des gouvernements sur les responsabilités engageants des défis liés aux effets climatiques. Fort d’un constat unanime dévoilant une particularité de cette rencontre primordiale, qui est l’abonnement d’absence et ou un balbutiement des supers puissants et pays pollueurs dont la chine, l’Inde, la Russie et les Etats Unis, les pays africains uniques victimes du réchauffement se positionnent en porteur d’étendard. L’objectif phare est que les ambitions pour la réalisation des attentes sont à la portées de tous surtout les pays africains sur les questions auxquelles, ils vont apporter des réponses à l’heure ou l’humanité fait face au dérèglement qui figure irréversible.
Un cop 27 des africains’’ par la forte représentation de chefs d’Etat en place dénote un militantisme de mise en place du mécanisme de préjudice et de perte. Par conséquent, il sera de fixer l’assurance demande de contribution des pays riches, premiers contributeurs aux dommages climatiques pour dédommager les pays sous développés. 105 milliards chaque année avec une enveloppe insuffisante selon les pays demandeurs se heurte à la non effectivité entière des accords de Paris.
Ce document est travaillé depuis le cop 21 et est bouclé depuis l’an dernier. Il n’y aurait plus de
pourparlers ni de négociation, mais la communication entre nord et sud qui s’accentue sur les pertes et préjudices, payer la facture pour le réchauffement climatique. Ceci est sujet de tension tabou à remette sur la table avec l’inflation, la guerre en Ukraine, la crise énergétique qui ont relégué le climat après la covid 19.
Le président de la République du Sénégal et président en exercice de l’Union Africaine à la tribune de Charm El Cheikh milite à l’adaptation et l’atténuation plus judicieuse en toute inclusion des aspirations et réalités tant politique et environnement économique des pays africains.
En plus de l’apport avantageux d’indemnisations, seul le multilatéralisme, selon lui, pourrait freiner le réchauffement climatique. ‘’Sur la contribution de l’Afrique que pour moins de 4% des émissions de gaz à effet de serre, elle souscrit à un développement sobre en carbone et résilient en réchauffement climatique pour un objectif de neutralité’’, dit il en parallèle à un accès universel à l’électricité dont 600 millions d’africains restent encore privés.
Cette conférence internationale ‘’Charm El Cheikh’’ dite Cop 27 des Nations Unies sur le changement climatique prendra fin le 18 novembre 2022 prochain.