À travers une conférence de presse organisée hier, après consultations avec les commerçants et les importateurs, la structure a rejeté la mesure.
Pour les acteurs économiques, selon Rewmi, s’aligner à ces nouveaux prix, provoquerait la faillite de plusieurs entreprises.
« Il est impossible d’acheter la tonne auprès de l’importateur à 262 000 tonnes et de la revendre à 264 500F CFA. Sans prendre en compte les frais de transport de 8000 F CFA. Appliquer l’arrêté, c’est vendre à perte. Donc c’est inapplicable en l’état. Dans ces conditions, les commerçants refuseront de s’approvisionner. Ce qui provoquera une pénurie », a expliqué le directeur exécutif de l’Unacois-Jappo, Ousmane Sy Ndiaye.